水曜日 2003年4月30日
Difficile de rester indifférent, insensible à la vision du premier long métrage de Marina de Van. Loin de montrer simplement un exercice de découpage ensanglanté, elle propose de s’interroger sur l’identité du corps. À voir (avec précaution cependant).
Franc-Parler: Pourquoi avez-vous choisi de mettre en scène un personnage qui s’automutile? Marina de Van: Ce n’est pas directement l’auto-mutilation qui était ma source d’inspiration, c’était plus généralement le rapport au corps et le (…)